Eric Vivion, Ténor Lyrique

« Un fabuleux moment musical. Une soirée de choix,un concert magnifique. C’est par de nombreux applaudissements qu’ils ont félicité le choeur,l’organiste et Eric Vivion dont le talent et le professionnalisme les ont subjugués. » (Christine Schwebel)

Concert Lyrique et Sacré Munster, 20 février 2003 « L’ALSACE »

 

« Sur les traces de Pavarotti,la remarquable voix du ténor Eric Vivion »

Concert Lyrique Colmar, 24 juin 2002 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Une charge émotionnelle intense a rempli la salle dès le premier morceau. La puissance de la voix d’Eric Vivion sublimée par la gravité de la contrebasse et la vivacité du piano a transporté le public »

Festival d’Ingersheim, 17 avril 2002 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Ténor lyrique à l’aube d’une belle carrière,Eric Vivion a mis sa voix chaude et enchanteresse, puissante et envoûtante, au service de grands airs d’opéras italien »

Festival d’Ingersheim, 17 avril 2002 « l’Alsace »

 

Eric Vivion, Directeur Musical et Artistique du Choeur Lyrique d’Alsace

« Le Chœur Lyrique de Centre Alsace a donné un concert de grande qualité. D’entrée, les auditeurs ont été frappés par l’homogénéité des voix, leur équilibre, leur rondeur, leur finesse, ces qualités se firent entendre tant dans les Vêpres de la Vierge de Rachmaninov, les Motets de Bruckner. Avec le Requiem de Fauré, cette œuvre superbe et envoûtante, l’émotion avait atteint son comble ».

Concert Lyrique et Sacré Colmar, 9 septembre 2003 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Le Chœur lyrique de Centre Alsace, qui se produisait en concert vendredi soir à l’église Saint-Joseph à Colmar, atteint déjà un niveau proche de la perfection. Conduits par Eric Vivion, le Chœur s’ouvre à des répertoires les plus complexes. D’emblée, ce qui frappe à travers tous les textes déployés, c’est l’incroyable cohésion qui perdure toute la soirée. Dès les premières notes, l’auditoire est captivé par une homogénéité qui va grandissant. L’extrait des Vêpres de la Vierge op.37 de S. Rachmaninov (1873-1943) respecte la vieille tradition russe qui est abordée dans une simplicité émouvante. Les voix des femmes, admirablement soutenues par celles des hommes, se fondent dans une masse polyphonique merveilleuse et enchanteresse. D’une profonde limpidité, la respiration qui dramatise quelque peu, va droit au cœur. Plus intime..., les Motets d’Anton Brucker (1824-1896) révèlent en quelques portées une vie entière dédiée à la foi. Les choristes traduisent avec rigueur ses pièces romantiques, parsemées d’une franche piété, faisant bien ressortir les pensées profondes du maître de Saint Florian :... " Afferentur regi ", "Locus Iste " et le superbe " Os justi " à huit voix dévoilent des capacités individuelles que beaucoup de chefs seraient comblés de diriger...Fauré nous conduit dans son Requiem avec la certitude d’en sortir indemne et c’est dans une grande quiétude qu’il énonce son message. Eric Vivion, à la recherche de ronde douceur, trouve là un domaine de prédilection. Les choristes le suivent dans ses méandres sans jamais déborder. Même si l’on sent une extrême ferveur, il transpire pourtant une agréable sobriété...., il règne une véritable paix aimante. Berceuse de la Mort : le chef extrait de cette œuvre un doux repos arrondissant tous les angles. Un ensemble qui risque sans aucun doute de faire encore parler de lui » (Michel Schuller)

Concert Lyrique et Sacré Colmar, 5 septembre 2003 « L’ALSACE »

 

« Un grand moment musical...Assurément, un concert d’une telle portée n’a plus été donné depuis belle lurette dans le sanctuaire dédié à saint Martin. L’aura musical dont jouit le Chœur Lyrique de Centre Alsace ne date pas d’hier, Eric Vivion dirige cette prestigieuse phalange qu’il a fondé. Au programme, des œuvres du romantique Bruckner (motets, Gabriel Fauré dont on présenta le Requiem dans un langage dépouillé, raffiné et intime, ainsi que des extraits du " Tombeau de Titelouze " de Dupré, Grand Prix de Rome. L’expérience et le professionnalisme d’Éric Vivion garantissaient à eux seuls un concert de qualité. Les nombreux mélomanes présents ne s’y trompèrent pas et firent une ovation au Chœur Lyrique pour son exécution vocale d’une maturité et force impressionnante... »

Concert Lyrique et Sacré Ammerschwhir, 6 mai 2003 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« L’excellence ! Avec le Requiem op. 48 de Gabriel Fauré ; la sensibilité vive et délicate de l’auteur s’est exprimée, le Pie Jesu reste un parfait exemple des subtilités et des nuances que Gabriel Fauré sut insuffler à sa musique, en poète et grand ami de Verlaine et Baudelaire, qui suggéraient les sentiments tout en douceur. Un grand moment d’art lyrique ou le public, averti, a donner une note unanime à Eric Vivion : excellent ».

Concert Lyrique et Sacré Mittelbergheim, 21 mars 2003 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Un concert de haut niveau. Une suite d’œuvres, de Félix Mendelssohn, Anton Bruckner, Serge Rachmaninov....Le Requiem opus 48 de Gabriel Fauré :une œuvre très émouvante . Les choristes enchantèrent littéralement les cœurs de l’assistance qui ne ménagea pas ses applaudissements... »

Concert Lyrique et Sacré Munster, 20 février 2003 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Un fabuleux moment musical. Le Chœur lyrique de Centre Alsace s’est produit samedi à l’église protestante de Munster. En point d’orgue : le Requiem de Fauré. Une soirée de choix,un concert magnifique. Placés sous la direction d’Éric Vivion, les choristes, accompagnés à l’orgue par Estelle Gerthoffert, ont proposé à l’auditoire un fabuleux moment musical avec entre autre le Requiem Opus 48, de Gabriel Fauré. C’est par de nombreux applaudissements qu’ils ont félicité les choristes, l’organiste et leur directeur, dont le talent et le professionnalisme les ont subjugués. » (Christine Schwebel)

Concert Lyrique et Sacré Munster, 20 février 2003 « L’ALSACE »

 

« Superbe Chœur Lyrique. Des moments de grande qualité. Une soirée consacrée à Gabriel Fauré mais aussi à d’autres grands compositeurs comme Mendelssohn ou Bruckner. Les auditeurs ont été sous le charme d’œuvre grandioses interprétées avec grand talent par les choristes. Un concert qu’il ne sont pas près d’oublier ».

Concert Lyrique et Sacré Munster, 17 février 2003 « L’ALSACE »

 

« Un concert exceptionnel donné par le Chœur Lyrique de Centre Alsace dirigé par Eric Vivion, directeur artistique et musical. Le programme proposé sortait des sentiers battus. Cette très belle manifestation débutait avec l’Ave Verum de Mozart et d’Anton Bruckner, les motets " Locus Iste ", " Afferentur Regi ", " Os Justi ", " Ave Maria. Particulièrement applaudis, le Psaume 42 de Félix Mendelssohn Bartholdy. Un concert qui se termina sous les applaudissements enthousiastes d’un auditoire ému. »

Concert Lyrique et Sacré Eguisheim, 5 juin 2002 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Un public nombreux a assisté au concert de bienfaisance organisé par l’association " enfants, espoir du monde " donné par le chœur Lyrique de Centre Alsace. Un moment de grande ferveur musicale.. »

Concert Lyrique et Sacré Scherwiller, 26 mars 2002 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Le Chœur Lyrique de Centre Alsace sous la direction d’Éric Vivion a émerveillé les mélomanes. Doué et passionné, il impose aux partitions le vertige de son amour pour la musique...Le Cantique de Jean Racine de G. Fauré s’élève nimbé d’une douceur magnifique... En écho à l’œuvre de Bruckner, le Chœur Lyrique expose une palette saisissante de contrastes d’une majestueuse harmonie. Le public est aux anges, dégustant ces séquences orchestrées par Éric Vivion. On sent là "une fusion" mais dans le sens noble du terme ! C’est tout l’art du pédagogue exigent et chaleureux qui soutire le maximum pour un résultat remarquable. Tout est mesuré, calibré, devenant possible.C’est plus qu’une totale sincérité artistique et musicale qu’exprime le Chœur Lyrique de Centre Alsace. Plébiscité, le Chœur s’est engagé pour un magnifique " Ave Verum " de W. A. Mozart » (Gilbert Mosser)

Concert Lyrique et Sacré Barr, 5 février 2002 « L’ALSACE »

 

« Les motets d’Anton Bruckner dont le " Os Justi " et l’ " Ave Maria " : chef d’œuvre du chant lyrique, étaient tous empreints de la grandeur dont l’auteur a si bien chargé ses œuvres. Dans le Psaume 42 de Mendelssohn, les voix s’élèvèrent avec la grâce, le charme et l’élégance toute désirée du compositeur que le chef de chœur a su traduire avec justesse et grande qualité. »

Concert lyrique et Sacré Barr, 4 février 2002 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Le Cantique de Jean Racine empreint d’expressivité et de religiosité, le Psaume 42 de Mendelssohn avec ses successions de moments à la fois prenants et attachants où le chœur a su déployer toute sa maîtrise, sa rigueur, son souci de perfection, reflets des exigences de son chef. André Metzger, président de l’ASOCI a félicité ce chœur qu’il considère comme un des fleurons des ensembles vocaux de la région. Pas moins de deux bis, une excellente coordination orgue et chœur, le public est reparti imprégné de cette chaleur et de cette générosité musicales et spirituelles. » (P. Ph. M.)

8ème Pléïade Musicale Internationale d’Issenheim, 24 janvier 2002 « L’ALSACE »

 

« Prestige de l’orgue et des voix,un concert en tout point remarquable. Dans le Cantique de Jean Racine, la douceur des voix et le souffle presque imperceptible de l’orgue étaient mis au service d’une grande ferveur intérieure ! Le Psaume 42 de Mendelssohn fut tout aussi émouvant, musicalement attachant et techniquement irréprochable ; le final " Was betrübst du dich, meine Seele... " sonnait comme un cri de délivrance, puissant et brillant. A quatre, sept, ou à huit voix, les Motets d’Anton Bruckner ont confirmé l’excellence de la formation qui peut se mesurer sans crainte à bien des ensembles professionnels. »

8ème Pléïade Musicale Internationale d’Issenheim, 22 janvier 2002 « Dernières Nouvellles d’Alsace »