Éric Vivion, Ténor Lyrique

« Le rêve a commencé par 2 airs qui ont révélé en Eric Vivion un ténor plein de verve et de santé vocale, possédant une belle palette expressive, une fermeté de timbre sans failles,dosant avec art piano forte et fortissimo... Un concert inoubliable »

Festival des Orgues D’Alsace avec Vincent Warnier Cernay, 19/09/07« L’Alsace »


« Le triomphe était attendu, les larmes d’émotion aussi avec l’excellent ténor Eric Vivion et son Choeur Lyrique. Une ovation debout,amplement méritée a salué ce concert d’exception »

Festival des Orgues D’Alsace avec Vincent Warnier Cernay, 18/09/07 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Le ténor Eric Vivion a donné une dimension exceptionnelle à sa performance » Festival « Danses et Musiques du Monde »

Saint-Mandrier, Juillet 2007 « Var Matin »

 

« La coqueluche du public sera le ténor Eric Vivion. Son physique fragile et son regard émouvant ne laisse pas présumer la force de sa voix longue et souple. Il fait merveille en Vincent de Mireille, personnage simple et sincère qui convient bien à la franchise de son émission. Avec l’air de la Traviata... les aigus ont comme chaque fois la faveur du public... »

Hubert Stoecklin Festival « Les Journées de Lagraulet » avec Léontina Vaduva, Juillet 2007 « Resmusica »

 

« Le génie des émotions... Eric Vivion est un gamin espiègle,enjoué avec son regard pétillant soufflant des braises de talent. Il a inoculé un terrible virus autour de lui qui met en exergue intensité,densité,amour. Le maestro s’offre un bis « Funiculi, Funicula »,grêle d’applaudissements,et puis cette haie d’honneur sur le parvis,en chantant Scenda Amor pour apprécier mieux encore l’amour, le partage,la joie, le bonheur. Bravissimo. »

Festival « Les Heures Musicales d’Ebersmunster », Mai 2007 « L’Alsace »

 

« C’est à la demande persistante des fidèles habitués du Festival d’Art Sacré que vous devez la présence du ténor Eric Vivion. La nombreuse assistance ne le remerciera jamais assez »

Festival Art Sacré, Ariège, 20/5/07 « La Dépêche du Midi »

 

« Une assistance venue en nombre. La prestation est époustouflante. Le public répond par des applaudissements nourris. Eric Vivion, ténor lyrique, révèle sa grande maîtrise dans un extrait de Don Giovanni. »

Concert Lyrique et Sacré, Obernai, 28/9/06 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Le directeur musical et ténor lyrique Eric Vivion ,subjugua l’assistance par trois interprétations solistes. Plus de deux heures de musique et de bonheur. »

Concert Lyrique, Lembach, Juin 2006 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Expression,engagement, talent, tout était mis en scène pour un plaisir magnifique... Honneur au maître de séance, Eric Vivion qui enflamme la scène par un air de Cardillo puis de Lara, le très célèbre Granada. D’emblée, c’est l’émotion qui impose sa carrure... Un final flamboyant avec le Libiamo de la Traviata...Magnifique ! »

Spectacle lyrique, Barr, 30/01/06 « L’Alsace »

 

« O sole mio chaleureux,un Salvatore Cardillo percutant, Agustin Lara avec le Granada magnifiquement envoyé par Eric Vivion lui même...un pur moment de bonheur, un océan de lyrisme submergeant la salle...un merveilleux voyage et un savoir faire enchanteur »

Spectacle lyrique, Barr, 30/01/06 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Pureté du son et virtuosité sont les mots qui peuvent définir le ténor Eric Vivion »

Festival Art Sacré, Ariège, 24/5/06 « La Dépêche du Midi »

 

Éric Vivion, Directeur Artistique et Musical du Chœur Lyrique d’Alsace

« Mille et un rêves, mille et un chemins », thème de la superbe prestation de cet ensemble, a attiré près de 200 personnes à l’église Sts-Pierre-et-Paul. Sous la direction d’Eric Vivion, son fondateur et directeur artistique et musical,le Choeur Lyrique a séduit et charmé le public par son talent. Finesse, poésie et humour Certains choeurs firent l’objet d’une mise en espace vivante et très colorée de par les costumes d’antan intégrés dans un merveilleux jeu scénique. Estelle Gerthoffert à l’orgue a ravi avec Variations sur « In dulci Jubilo » de Denis Bedard, Fugue en sol mineur KV 401 de Mozart et le Choral « Was Gott tut, das ist wohlgetan » opus 93 de A. Guillmant, en un jeu d’orgue solo, enlevé et très aéré, mettant en valeur l’orgue Stiehr-Mockers. Le public, subjugué, sensible à tant de compétence n’a pas ménagé ses applaudissements et a ovationné le chœur. Une soirée inoubliable qu’on aurait aimé prolonger. »

Concert Lyrique et Sacré, Hochfelden, 12/12/ 2007 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Final triomphal-Superbe concert !...En invitant le Chœur Lyrique, le Président de « la Découverte des Orgues d’Alsace » a eu la main très heureuse. L’ensemble dirigé par l’excellent ténor Eric Vivion,a donné un véritable spectacle d’opéra. Générosité d’un Chœur qui, quelques années après sa création,se place désormais parmi la fine fleur du chant lyrique. Entre autre, « Les Danses Polovstiennes » de Borodine,ordinairement déclinées sans faste,ont été présentées avec une fougue revigorante.Le triomphe était attendu les larmes d ’émotion aussi avec le duo final : « Libiamo » de la Traviata avec Eric Vivion Alfredo et Annie Libis Violetta. Estelle Gerthoffert a la tribune a fait corps avec les chanteurs, les soutenant avec discrétion et tendresse. Une ovation debout, amplement méritée, a salué ce concert d’exception ! »

Festival des Orgues d’Alsace avec Vincent Warnier, 18/09/07 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Splendeur lyrique à Marc Baron !...Le Choeur Lyrique en présentant « Terre de Rêves,Chemins d’Enfance » a conquis le public au point de dépasser la capacité de la salle remplissant même l’esplanade où était installé un écran géant. Ce spectacle fut une réelle splendeur de l’art musical de Mozart,Rossini,Verdi et autres. Eric Vivion a donné une dimension particulière à sa performance, l’affluence l’a démontré. »

Festival « Les Nuits Mandréennes », 28/7/07 « Var Matin »

 

« Succès d’affluence et réussite musicale ! »

Festival « les Heures Musicales d’ Ebersmunster », 30/5/07 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Le génie des émotions... Le Chœur Lyrique a bouleversé un public ému..Un concert qui restera gravé dans les mémoires. Le Chœur Lyrique domine les nuances, les temps plus doux ou modérés,là où précisément la musique délivre une âme. Mais quel bouleversement lorsque les voix s’envolent,s’élèvent, se libèrent donnant à l’ensemble de l’interprétation ce quelque chose d’une exceptionnelle consistance. On se plaît alors à rêver de reflets,de reliefs, de sentiments évalués et restitués avec une rare force émotionnelle.Tout est construit autour du don de soi. La sensibilité se frotte a des sentiments hors du commun. L’ensemble est soudé, d’une complicité qui laisse apparaître une lumière d’une fort belle brillance. Le son pur développé avec une touchante rigueur,se plaît à faire cheminer des émotions éblouissantes. Il y a là un plaisir du raffinement que l’on écoute osant à peine respirer. Les montées en puissance sont admirablement construites,tels des crescendos qui attisent la vie vers un cri de joie et de souffrance, salvateur.C’est poignant comme ce Salve Regina de Poulenc ou prégnant dans l’extraordinaire densité contenue dans l’Agnus Dei de Barber. Eric Vivion est un gamin espiègle,enjoué avec son regard pétillant soufflant des braises de talent. Il a inoculé un terrible virus autour de lui qui met en exergue intensité,densité,amour.Puis on plonge dans l’art lyrique avec une même foi en des moments irradiants. Mozart,Rossini,Leoncavallo,...La vie s’accorde aux évènements,tragiques, gais ou chargés d’espérance rendus grâce à une capacité d’expression d’une profonde authenticité. Idoménéo de Mozart,un concentré de force, d’émotion, de véracité un jeu puissant viril et doux à la fois,humble, qui réveille les plus endormis ou endurcis. Oui, quelle intensité dans l’extrait de Moïse, de Rossini ! Une lectrice fait le lien,tisse un fil,fil sans lequel on sortirait meurtri, endolori mais en tout cas libéré.Le maestro s’offre un bis « Funiculi,Funicula », grêle d’applaudissements, et puis cette haie d’honneur sur le parvis,en chantant Scenda Amor pour apprécier mieux encore l’amour, le partage, la joie, le bonheur. Bravissimo. » Gilbert Mosser

Festival « Les heures Musicales d’Ebersmunster », 29/5/07 « L’Alsace »

 

« Les voix sont apaisantes,elles procurent un grand frisson à l’assistance venue en nombre. Eric Vivion tire le meilleur de ses choristes. La prestation est époustoufflante. Le public répond par des applaudissements nourris. Eric Vivion, ténor lyrique, révèle sa grande maîtrise dans un extrait de Don Giovanni. »

Concert Lyrique et Sacré, Obernai, 28/9/06 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Une église comble pour une exceptionnelle soirée Mozart dans le cadre des « Voies Mozart » organisées par le Conseil Général à l’occasion du 250ème anniversaire de la naissance du compositeur. La puissance et la justesse des voix captiva dès les premières notes l’attention du public, libérant à la fin de chaque tableau un tonnerre d’applaudissements.L’œuvre de Mozart fut interprétée avec beaucoup de sensibilité, de souplesse mais aussi avec la force nécessaire. Chaque moment du concert fut un temps fort. Le directeur et ténor lyrique,Eric Vivion,subjugua l’assistance par trois interprétations en soliste.Le spectacle était aussi visuel,notamment une partie en costumes paysans puisqu’elle donna lieu aussi à des jeux de scènes. Deux heures de musique et de bonheur et deux rappels ! »

Concert Lyrique et Sacré, Lembach, 21/6/06 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Voyage à travers l’opéra... En présence d’un public qui avait rempli la salle, le concert lyrique, dirigé par Eric Vivion, laissait présager de multiples surprises. Une mise en espace originale de la salle des fêtes régalait l’auditoire, avec des scènes théâtrales de grand effet. Les choristes étaient en costume champêtre d’abord. Puis la chronologie du spectacle, l’évocation de la Première Guerre mondiale, les habilla avec le noir du deuil. Retour à l’espérance au final, sur des notes plus gaies, dans un « O sole mio » chaleureux. Les airs d’opéras célèbres faisaient honneur à Mozart, puisque 2006 va permettre de célébrer le 250e anniversaire de la naissance du compositeur autrichien. Il y avait aussi Verdi, particulièrement cher au public barrois, Salvatore Cardillo, moins connu mais tout aussi percutant, et Agustin Lara, avec le Granada, magnifiquement envoyé par Eric Vivion lui-même. Cette soirée a offert un beau voyage à travers le monde merveilleux de l’opéra.Les organisateurs proposaient des scènes extraites des opéras Les noces de Figaro, La flûte enchantée et Idoménée, pour ce qui concerne Mozart, et de La Traviata, La force du destin, Macbeth, Aïda et Nabucco, pour Verdi. Le Duo des Fleurs, extrait de Lakmé fut un enchantement parmi les autres. Estelle Gerthoffert laissait courir ses mains sur les touches du piano en mille gouttes dans cet océan de lyrisme submergeant la salle. Pur moment de bonheur pour les spectateurs, dont la plupart "connaissaient la musique", accourus de Barr et d’ailleurs. Samedi soir, le chœur lyrique de Centre-Alsace a, une fois de plus, démontré son savoir-faire enchanteur ». G.L

Spectacle Lyrique, Barr, 28/1/06 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Expression, engagement, talent, tout était mis en scène pour un plaisir magnifique...Une émotion de vie mise en scène...Le chœur lyrique de Centre Alsace sous la férule d’Éric Vivion a enchanté une salle des fêtes de Barr comble samedi dernier.Lyrique… Oh oui jusqu’au bout des voix à l’entame de cette nuit de samedi au sein d’une salle des fêtes de Barr bondée. Honneur au maître de séance, Éric Vivion, qui enflamme la scène par un air de Cardillo et de Lara dont le très célèbre Granada. Mais, d’emblée, c’est l’émotion qui impose sa carrure. La mise en scène fait penser à ces vieilles photos jaunies par le temps. Que l’on regarde avec nostalgie. Une récitante évoque la période juste avant la Première Guerre mondiale. C’est l’insouciance qui triomphe, un bonheur de vivre simple, rustique. Tout se met en mouvement pour extirper des événements la quintessence d’une qualité de vie que l’on voue à la paix à l’espérance folle. Deux extraits des noces de Figaro de Mozart conviennent magistralement. La passion étale des séquences que le piano tenu par Estelle Gerthoffert affine avec une rare justesse. De ton évidemment, mais de sentiments surtout. L’éclairage contribue à donner toute cette dimension voulue pour que le talent, le choix des œuvres, l’expression soient virevoltants ou profondément graves...Ce fabuleux chœur des esclaves...La guerre ! Des images-choc révèlent son identité tragique. Tout s’effondre. Les changements de tenues, l’expression des visages offrent à la prestation une maturité et une véracité à la fois émouvante et authentique. C’est une véritable leçon d’Histoire qui est distillée. Le public est essoufflé, estomaqué ou enivré. On retient son souffle, on sent battre de nombreux cœurs. Une force poignante se dégage des extraits de Mozart ou de Verdi. Macbeth. O temps suspend ton vol ! Le tragique d’une gravité majestueuse, extirpant des élans limpides loin des frivolités, loin d’un spectaculaire clinquant, dans l’urgence du tragique que le malheur, à cause des hommes, rend encore plus pesant. C’est rythmé dès que la vie reprend le dessus. L’oubli évacue les miasmes. Chœurs ou solistes contribuent à se forger un plaisir que chacun a emporté avec enthousiasme. Il fallait alors ce final flamboyant extrait de la Traviata, après la délicate diatribe du duo des fleurs de Delibes. Et la vie continue se parant d’espérance. Magnifique ! Surtout le Patria oppressa et le chœur de Nabucco ». Gilbert Mosser

Spectacle Lyrique, Barr, 28/01/06 « L’Alsace »