Éric Vivion, Ténor lyrique

 

« Alfredo Germond ,impersonato dal bravissimo tenore Eric Vivion ! »

Opéra Traviata Castellucchio Mantova Italie, 4/7/11 « La Gazzetta di Mantova »

 

« Une communion exacerbée par la sublime prestation du ténor Eric Vivion. Une voix et une présence étonnante...Un final qui vit un public transporté,ivre de bonheur ! … Eric Vivion rentre d’une tournée italienne où il a connu un immense succès et a partagé avec le public du Festival d’Art Sacré quelques instants de pur plaisir musical »

Festival Art Sacré de L’Ariège, 12/6/11 « La Dépêche du Midi »

 

« Eric Vivion rejoint les chanteurs.On admire ce fondu enchaîné entre l’organiste et le chanteur lyrique. Le maestro offre Donizetti « Tombe degli avi miei »de Lucia di Lammermoor,si convainquant. Gravité et ferveur,prière se mêlent. Cet homme seul dans ce grand édifice avec pour seule arme sa voix...Vertigineux ! »

Concert lyrique, Sélestat, 12/3/11 « L’Alsace »

 

« Eric Vivion,ténor dans la plénitude de son art,a irradié d’un chant brillant, à la tessiture impressionnante et à la chaleur communicative, une zarzuela de Sorozabal.Il a aussi été un chef de choeur sans reproche. Sa direction vive, claire, imagée,a merveilleusement fédéré chœur et orgue. »

Festival International d’Orgue, Collégiale Thann, 19/10/10 « L’Alsace »

 

« Le ténor Éric Vivion et ses choristes du Choeur Lyrique ont fait le bonheur des mélomanes.La salve d’applaudissements qui a salué le choeur après l’ultime pièce du programme, a libéré la fougue du chef. Et c’est par « Nessun Dorma », inattendu, que s’est vraiment terminé ce long concert, Puccini et son opéra Turandot, donnant à Éric Vivion, ténor magnifique, chaleureux, la place qui lui revenait dans ce grand spectacle. Il avait montré l’exemple, avec sa voix vibrante, aux très beaux contours, en entonnant l’Air de Leandro de Pablo Sorozabal ».

Festival International d’Orgue, Collégiale Thann 22/10/10 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Le concert de clôture du 16e stage international de chant avec le précieux soutien du ténor Eric Vivion, pédagogue efficace en même temps qu’un brillant chanteur »

Stage International de Chant de l’Ariège, 20/8/10 « La Dépêche du Midi »

 

« Le ténor lyrique Eric Vivion a ému la salle jusqu’au frisson...Un répertoire magique...« Terre de Rêves,Chemins d’Enfance » créé et dirigé par Eric Vivion, un spectacle divin, grandiose, d’une qualité exceptionnelle. »

Spectacle lyrique Festival « Les Nuits Mandréennes », Saint-Mandrier, août 2010, « Var Matin »

 

« Eric Vivion pour sa part est au four et au moulin : chef de choeur accompli et directif, il redevient ténor lyrique dans une zarzuela de Pablo Sorozabal fort appréciée et dans le bis surprise:Nessun dorma issu de Turandot,soutenu par son choeur dans un feu d’artifice vocal final,applaudi à tout rompre par un public conquis »

Festival « Les Heures Musicales d’ Ebersmunster, 02/06/10 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Eric Vivion un ténor de très grande envergure...Il est poignant,enivrant,tant il déclame avec fougue et sensibilité l’extrait de Pablo Sorozabal « No puede ser »...Le public est debout fou de bonheur. Fantastique ! »

Festival « Les heures Musicales d’Ebersmunster », 01/06/10 « L’Alsace »

 

Éric Vivion, Directeur Artistique et musical du Chœur Lyrique d’Alsace

 

« Gravité et ferveur, prière se mêlent. Cet homme seul dans ce grand édifice avec pour seule arme sa voix. »

Sélestat, de l'absurde à la grâce (article de L'Alsace)

Concert Lyrique et Sacré de Sélestat, 12 mars 2011, vu par l’Alsace

 

« "Itin-Errance" avec l’excellent Chœur lyrique d’Alsace centrale dirigé par Eric Vivion, ténor lyrique et chef de chœur qui a recueilli de vifs applaudissements après son solo d’un extrait de l’opéra "Lucia di Lammermoor" de Gaetano Donizetti. L’organiste Estelle Gerthoffert accompagnatrice du Choeur a fait étalage de son talent lors de l’interprétation de la "Fugue sur le nom d’Alain" de Maurice Duruflé. »

Concert Lyrique et Sacré Hoenheim 27 Mars 2011 "Dernières Nouvelles d’Alsace"

 

« L’art lyrique a charmé le public de la collégiale Dans la partie consacrée au répertoire spirituel, le chœur s’est hissé au niveau des meilleurs. Il a été impressionnant de ferveur et de plénitude polyphonique, dans l’« Ave Verum » de Mozart, avant que les voix féminines ne maîtrisent le « Kyrie » d’André Messager, avec une superbe dynamique mélodique, sculptant l’espace de la collégiale d’un chant aux couleurs magnifiques. La promenade de l’ensemble à travers quelques airs mythiques de l’opéra a été un enchantement . Une maîtrise implacable de ce répertoire, un style sans failles assorti d’impeccables qualités de diction, un lyrisme d’un relief saisissant, ont été un régal. Beau, simplement beau ! Ajoutez à cela la beauté des timbres, le fondu des voix et une élégance omniprésente, et vous aurez compris pourquoi c’était beau, simplement beau, alors que les âmes de Mozart, Verdi, Tchaïkovski, Mascagni planaient sous les voûtes de la collégiale. Des solistes généreux, envoûtants, aux phrasés soignés, ont encore accentué l’équilibre parfait de ce chœur. Enfin Eric Vivion, ténor dans la plénitude de son art, a irradié d’un chant brillant, à la tessiture impressionnante et à la chaleur communicative une « Zarzuela » de Sorozabal Estelle Gerthoffert s’est montrée parfaitement à l’aise à la console de l’orgue. Elle a réussi, accompagnatrice respectueuse des voix, à sculpter, en hommage à Boellmann et Langlais, l’espace des larges perspectives mélodiques d’une palette de couleurs aussi chatoyantes que raffinées et épanouies. Enfin, cerise sur ce délicieux gâteau, la sortie en chantant du chœur pour saluer le public quittant la collégiale en formant une haie au fond de l’église »

Festival International d’Orgue de la Collégiale de Thann, Concert Lyrique et Sacré, 17 Octobre 2010 « L’Alsace »


« Un concert voyageur. En invitant dimanche le Chœur lyrique d’Alsace centrale, l’Association pour le rayonnement des orgues de la collégiale a fait un très bon choix. Le Chœur lyrique d’Alsace centrale, ses solistes et son chef, le ténor Éric Vivion, ont fait le bonheur des mélomanes. (Photo DNA) La salve d’applaudissements qui a salué les choristes après l’ultime pièce du programme, a libéré la fougue du chef. Et c’est par « Nessum Dorma », inattendu, que s’est vraiment terminé ce long concert, Puccini et son opéra Turandot, donnant à Éric Vivion, ténor magnifique, chaleureux, la place qui lui revenait dans ce grand spectacle. Artiste nomade Le Chœur lyrique d’Alsace centrale fait corps, dans une parfaite symbiose avec son directeur-fondateur. L’Ave verum de Mozart surprend par la séparation des timbres, voulue ici, dans une interprétation plutôt inhabituelle. Mais le glissement presque imperceptible de la somptueuse louange vers l’infini de l’unisson donne le frisson... « Itin-errance » est un concert voyageur. « L’artiste aussi est nomade, d’œuvre en œuvre », annonce la récitante. Un hommage à Anton Bruckner puis à André Messager montre que les choristes ont soigneusement rangé, en gens bien disciplinés, leurs valises d’oeuvres sacrées. Étranges filiations Le choeur s’exprime dans toute sa plénitude dans les accents grandioses de Nabucco, montre toute la générosité dans ses élans dans O voto tremendo, fastueux extrait d’Idoménée. Éric Vivion met en avant ses plus beaux solistes dans Les sept dernières paroles du Christ, une des plus belles pièces de ce concert, difficile sans doute, mais magnifique par son impétuosité. Il faut rendre justice au chef de choeur, il avait montré l’exemple, avec sa voix vibrante, aux très beaux contours, en entonnant l’Air de Leandro de Pablo Sorozabal. Un jeu soigné A la tribune du grand orgue Rickenbach-Aubertin, Estelle Gerthoffert a proposé un jeu soigné, dévoilant avec flamboyance les registres dans la Suite gothique de Boëllmann, jouant des contrastes dans l’Incantation pour un Jour Saint de Jean Langlais. En final très provisoire, les applaudissements repoussant sine die les limites du programme, Éric Vivion et ses choristes ont chevauché sur Cavalleria Rusticana, de Pietro Mascagni ».

Festival International d’Orgue de la Collégiale de Thann, Concert Lyrique et Sacré, 22 Octobre 2010 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Le théâtre Marc-Baron était trop petit pour le Chœur Lyrique d’Alsace qui a fait déplacer les foules ce qui a mis dans l’embarras les organisateurs obligés de leur refuser l’accès à la salle, faute de place disponible un spectacle divin où le soliste Eric Vivion, imperturbable, a ému la salle jusqu’au frisson. Un répertoire magique,un spectacle grandiose, d’une qualité exceptionnelle »

Festival Danses et Musiques du Monde, Spectacle Lyrique « Terre de Rêves, Chemins d’Enfance », Saint Mandrier sur Mer, 6 août 2010 « Var Matin »

 

« Généreux et lyrique ! Une prestation de grande qualité dans un registre qu’il maîtrise de bout en bout : le chant lyrique. « Itin-errance » est le titre de ce concert-spectacle.Mozart puis Bruckner en ouverture permettent au choeur de déployer les multiples facettes de son talent, mais surtout de faire montre d’une générosité dans le son, qui caractérisera l’ensemble du concert.Eric Vivion pour sa part est au four et au moulin ; chef de choeur accompli et directif, il redevient ténor lyrique dans une zarzuela de Pablo Sorozabal fort appréciée et dans le bis surprise : Nessun dorma, issu de Turandot, soutenu par son choeur dans un feu d’artifice vocal final, applaudi à tout rompre par un public conquis ! »

Festival Abbatiale d’Ebersmunster, 2 juin 2010 « Dernières Nouvelles d’Alsace »

 

« Le Chœur Lyrique a fait vibrer d’émotion la nef de l’abbatial et a offert un souffle vibratoire aux Heures Musicales D’Ebersmunster.Costumes superbes, voix combatives et émouvante , un peu comme un viatique pour porter la vie dans ses plus subtils retranchements.Sylvie Adam enflamme en douceur un public plutôt fourni…on va cheminer avec Taha Bekri, Jean-Yves Le loup, P. McLeod Eric Emmanuel Schmitt mais surtout avec un ténor de très grande envergure Eric Vivion..Et on se laisse entraîner dans un voyage aux accents vibrants, toniques. D’emblée il faut goûter à l’accompagnement subltil et aérien d’Estelle Gerthoffert à l’Orgue. C’est juste ce qu’iil faut mais avec une prestance émerveillée.Des voix maîtrisées, affirmées, combatives se prêtent à un limpide Ave Verum de Mozart. Tout est déjà dit, avec une fraicheur éblouissante. Les voix des choristes s’élancent radieuses, vigoureuses, vivifiées. Un auditoire médusé et conquis n’avait pour seule ressource qu’un plaisir émerveillé. Anton Bruckner (Os Justi) André Messager (Kyrie), les séquences se suivent et ne se ressemblent pas.Les voix émergent d’un ailleurs profond,laissent le public pantois. Quelles voix ! quelles expressions ! Le secret d’Eric Vivion réside dans cette faculté de pousser ses choristes à vivre à fond ce que les œuvres laissent entendre comme émotions, sentiments ou technique. Des ondées de frissons parcourent la nef. Tout se mélange avec une formidable authenticité : tragédie, joie, destin, espérances. Estelle Gerthoffert livre des jeux d’orgue d’une richesse et d’une sensibilité limpides. On déguste une marche de Mozart, le Trivium d’Arvo Pârt. C’est Lumineux, somptueux ; Eric Vivion est poignant, enivrant, tant il déclame avec fougue et sensibilité l’extrait de Pablo SorozabaL « No puede ser » . Et le chœur s’affirme bouleversant grâce à des changements d’humeur, de rythmes époustouflants. Hayden jusqu’à la supplique ou cet extrait de Nabucco de Verdi, plongeant les auditeurs dans une euphorie intérieure. Un torrent … Puis les paysannes de TchaÏkovski chantent. On ferme les yeux. Arrivent les hommes pour magnifier Mascagni. Ca fait chaud au cœur et ça revigore. C’est si beau ! Que dire des costumes ? Le public est debout fou de bonheur. Fantastique ».

Festival Abbatiale d’Ebersmunster, 1 juin 2010, Gilbert Mosser « L’ALSACE »

 

« Un concert d’exception « Mille et un chemins ».Le Choeur Lyrique excelle dans le répertoire qu’il présente et a donné pour ce concert des Rameaux, toute l’étendue de son talent. l’« Ave Verum » de Wolfgang Amadeus Mozart, sublimement interprété par douze dames et dix hommes, tout comme « Os Justi » d’Anton Bruckner, permirent aux quelque 120 mélomanes accourus de faire connaissance avec la perfection d’exécution de toutes ces oeuvres, merveilleusement accompagnées au piano à queue par Estelle Gerthoffert, accompagnatrice attitrée d’Eric Vivion.Entre les différentes pièces chorales avec solistes, Sylvie Adam, lectrice, apportait avec sensibilité la dimension spirituelle du chemin de Jésus, jusqu’à la mort.Puissance et justesse.Douze voix de femmes et dix d’hommes, tous des solistes exceptionnels, donnèrent l’étendue de leur art, avec foi, précision, puissance et justesse. Ammerschwihr n’avait encore jamais vécu une telle intensité et la haute élévation de l’âme ressentie par la totalité des mélomanes devant les « Mille et un chemins » donnait au coeur de chacun un trop-plein d’émotion à l’écoute de tous ces choristes donnant à pleine voix le bouleversement ressenti par le mystère pascal.Deux bis des pièces de Mozart terminèrent ce superbe début de soirée et les choristes et leur chef de choeur, reçurent un hommage général et appuyé ».

Concert Lyrique et Sacré, Ammerschwihr, 28 mars 2010 « Dernières Nouvelles d’Alsace »