Eric Vivion, Ténor lyrique

"...Eric Vivion transcendé, a bouleversé l'immense public de 500 personnes des Tanzmatten..."

Spectacle Lyrique "El Camino de la Vida", Tanzmatten Sélestat, 10/04/13 "L'Alsace" Gilbert Mosser

 

"Eric Vivion, ténor lyrique professionnel, a exécuté le célèbre air Nessun Dorma, chef-d’œuvre du compositeur italien Puccini, accompagné du chœur et de l’orgue, sous les derniers rayons du soleil passant à travers les vitraux. Un final en beauté!"

Concert Lyrique,Bischheim,19/9/12"Dernières Nouvelles d'Alsace"

 

Eric Vivion, Directeur Artistique et Musical du Choeur Lyrique D'Alsace

"L'âme du monde par le Chemin de la vie

Le choeur Lyrique d'Alsace sous la conduite d'un Eric Vivion transcendé a bouleversé l'immense public des Tanzmatten...

Lorsque le soleil se couche et que l'on ferme les yeux pour prolonger l'harmonieuse émotion vécue ce dimanche 7 avril aux Tanzmatten de Sélestat, il reste un écho fertile que l'on ne peut plus abandonner, comme une légende personnelle dénichée dans l’Alchimiste de Paolo Cooelho, comme une promesse d'un sens profond. L'être qui veut s'approprier les effets énergétiques de la vie se met en marche, sur un chemin qui le mènera vers l'âme du monde.
Ici on retrouve Frédéric Lenoir et ce chef d'œuvre de sensibilité, cette leçon de nectar de vie. Prendre le chemin et accepter ce que l'on reçoit, donnant ce qui nous a été une bénédiction...Certes il y a ces orages de vies, ces guerres, ces soubresauts dévastateurs. Et pourtant la voix d'Eric Vivion, ses convictions faites d'une essence noble et pure, enchante les spectateurs.
En passant on écoute Khalil Gibran, Sylvain Tesson, Nietzsche, Gandhi. Eric Vivion aussi. Et l'émotion se libère. Bouleverse celui qui se met au diapason de la scène. Estelle Gerthoffer au piano devient comparable à la source, au frémissement des feuilles courtisées par un vent de désir. De vie, de sentiments fraternels, de partages...
C'est puissant et éblouissant de finesse. C'est une caresse qui transmute l'art des comédiens-chanteurs.
La musique, le chant, le choeur à coeur...
Sans difficulté on laisse surgir quelques larmes. Mais c'est pour mieux se purifier, pour laver les aléas du quotidien. L'effet est salvateur. Ces voix, autant du ténor lyrique et "maître de ballet" Eric Vivion, autant ces voix d'hommes surgies du néant dans un extrait de Nabucco de Verdi, autant ces voix de femmes, toujours là à remettre du baume au coeur.
Et puis, il y a ces mises en scène, ces costumes, ces images. Ces danses. Federico Morena-Toroba, Wolfgang Amadeus Mozart, Guiseppe Verdi, Bizet, Augustin Lara, Francisco Asenjo-Barbieri, Pablo Sorozabal, Amadeo Vives, pour faire vivre ce vieux manuscrit qui parcourt le temps, ce Camino de la Vida. Ce vieux manuscrit qui s'essouffle à nous dire que seul l'amour est une oeuvre fantastique. Dit, donné, vécu ainsi par le Choeur Lyrique d'Alsace c'est un cadeau éblouissant qui étreint le passant avide de bonheur. Tout est si simple avec pas mal de complicité. De la passion, du talent. Du Coeur..."

Spectacle Lyrique "El Camino de la Vida",Tanzmatten Sélestat, 10/04/13 "L'Alsace" Gilbert Mosser

 

"Eric Vivion-Grandi, le chœur sublimé

Les Tanzmatten accueillent ce dimanche « El camino de la vida », dernière création d’Eric Vivion-Grandi, artiste lyrique, metteur en scène et chef du Chœur lyrique d’Alsace, installé à Sélestat. Petit retour sur ce « chemin de vie » en compagnie de son créateur.

Quelle est la spécificité de ce concert ?

Un tel spectacle est une gageure : il s’agit d’un spectacle total, qui ne se limite pas à la juxtaposition de morceaux du répertoire ; « El camino de la vida » raconte une histoire, celle de la découverte d’un manuscrit dans lequel le protagoniste va s’immerger jusqu’à l’origine du texte et remonter son histoire jusqu’à notre monde. Pour porter cette histoire, on a choisi des œuvres musicalement très fortes, des arias et des extraits de zarzuelas, et on a établi entre elles un lien universel d’amour et de passion. Le manuscrit dont il est question dans l’histoire a été écrit à Jérusalem, et c’est « Nabucco » de Verdi qui nous plonge dans cette origine hébraïque. Au fil du spectacle on suit les  péripéties du manuscrit à travers les époques : on remonte à la Renaissance, puis en Espagne, au XIXè siècle.

Qu’est-ce qui fait le lien entre les différents chants ?

J’ai écrit un texte inspiré de mes lectures : Frédéric Lenoir (« L’âme du monde »), et Paulo Coelho (« l’Alchimiste »), mais surtout des philosophes comme Nietzche et Gandhi. Le spectacle porte sur des valeurs de tolérance et d’humanisme, les chants ont une portée philosophique et spirituelle.

Qui sont vos compagnons de route sur ce « Chemin de la vie » ?

Le Chœur Lyrique ce sont 24 choristes, 13 femmes et 11 hommes, qui pratiquent le chant en amateurs mais avec des exigences de professionnels. La particularité de notre pratique, c’est de développer non seulement les aptitudes chorales, mais aussi d’autres capacités scéniques, comme le jeu d’acteur ou la danse ; pour ce spectacle, nous avons fait appel à Inès Cesar Panos, qui a travaillé le flamenco avec huit volontaires pendant une saison et demie. Nous sommes une troupe, au sens d’une dynamique professionnelle et affective. Ce qui m’intéresse, c’est de mettre en valeur les talents des gens, pour cela il faut à la fois de l’émulation et de la connivence.

Qu’est-ce qui vous enthousiasme ?

Je veux transmettre à travers ce spectacle l’idée d’un lien universel d’amour et de passion. A l’opéra, l’amour est tout… ou c’est la mort ; l’amour est vécu dans la dimension la plus sublimée. L’artiste se doit d’apporter des ouvertures, faire rire, permettre la tolérance et l’espérance, et donc sublimer les choses.

Quels sont vos moyens pour transmettre ce message ?

Outre les soutiens institutionnels, on bénéficie d’un mécénat d’entreprise, fondé sur une foi en des valeurs communes. C’est une réponse au problème économique de la production de spectacle que rencontre la création artistique. Je crois à ce besoin de donner à voir et a entendre. Il faut soutenir cette prise de conscience qu’on a besoin de spectacle vivant comme on a besoin de pain pour se nourrir."

Spectacle Lyrique "El Camino de la Vida" ,Tanzmatten Sélestat, 07/04/13 Entretien avec Caroline Reiss pour les "Dernières Nouvelles d'Alsace"

 

 

"Sylvain Dedenon et Eric Vivion, les chefs respectifs de l’orchestre et du chœur, ont mis tout leur brio dans l’exécution de ce concert…..Le Choeur lyrique compte une douzaine de merveilleuses voix de femmes et onze voix d’hommes….L’Ave Maria de Bruckner a enchanté le public… Le concert s’est achevé sous un tonnerre d’applaudissements."

Concert Lyrique et Sacré, Barr, 17/12/12"Dernières Nouvelles d'Alsace"

 

"Barr, Délice de saison...

L’Ensemble de cuivres diu Piémont et le Chœur lyrique d’Alsace, avec Sylvain Dedenon et Eric Vivion pour chefs respectifs, y ont mis toute leur âme…Le chœur a interprété des extraits d’opéras, des œuvres de Haydn….L’Ave Maria de Bruckner a été un enchantement! La suite pour orgue solo a été enlevée avec élégance par Estelle Gerthoffert à l’orgue… Tous se sont réunis pour un bouquet final, extrait de Verdi et Puccini…Le concert s’est achevé sous un tonnerre d’applaudissements."

Concert Lyrique et Sacré, Barr, 17/12/12,"L'Alsace"


"Festival chant choral – Niedermorschwihr Du fond du c (h) oeur

Le Chœur lyrique d’Alsace c 'est la qualité vocale et visuelle.

Estelle Gerthoffert au clavie a interprété une oeuvre de Lefebure Wely ainsi qu'une sonate de Mendelssohn au grave complexe, adagio sulpicien tendu, allegro réanimant le vénérable instrument, dépoussiérant toute sa tuyauterie jusqu’à une fugue emballante. Il en est de même pour la fonction d’accompagnante, d’un pensum, elle substitue une approche subtile renforçant la puissance de Nabucco de Verdi majoritairement proposé, avec forcément, une adhésion enthousiaste de l’auditoire. Les soli mozartiens de Viviane Dedenon, du chef de chœur Eric Vivion tonique à souhait, d’Annie Libis, élégante, d’Alain Louis convainquant, renforcent l’ampleur de tous les moments musicaux proposés…Un extrait d’Idoménée propulse dans la profondeur bouleversante du requiem de Mozart…La musique au plus fort, encore et encore, un régal qui fait le plus grand bien. La courtoisie de l’ensemble va jusqu’à accompagner quasiment individuellement chaque auditeur au seuil de l’église… Un chœur lyrique d’Alsace de grande tenue et classe…"

Concert Lyrique et Sacré,Niedermorschwhir,28/11/12"Dernières Nouvelles d'Alsace"

 

"Le chœur lyrique d’Alsace a offert  un grand moment musical en l’église Saint Laurent de Bischheim...Ce fût un délicieux concert. Ce chœur a l’exigence professionnelle, a été créé et est dirigé par Eric Vivion…

Le programme de dimanche a largement exploré le romantisme italien…. « rendre à l’auditeur l’œuvre qui lui appartient »…  « "banaliser l’opéra"…entretenir cette « mémoire collective » en amenant les airs d’opéra en dehors des murs des théâtres". C'est ainsi que s'est exprimé Eric Vivion à l'issue du concert.

l’Incantation pour un jour saint composée par Jean Langlais,une pièce audacieuse par sa complexité et la richesse de ses accords a été interprété avec brio par Estelle Gerthoffert.

Eric Vivion, aussi ténor lyrique professionnel, a exécuté le célèbre air Nessun Dorma, chef-d’œuvre du compositeur italien Puccini, accompagné du chœur et de l’orgue, sous les derniers rayons du soleil passant à travers les vitraux. Un final en beauté."

Concert Lyrique et Sacré,Bischheim,19/09/12,"Dernières Nouvelles d'Alsace"

 


"Le temps d’un après-midi, le Chœur lyrique d’Alsace a investi certaines cabanes du festival Archi 20, avant d’offrir aux visiteurs un délicieux « Apéropéra »

… les visiteurs du festival Archi 20 ont été conviés à une balade plutôt insolite….. aux portes de la cabale Hélio 20, les attendaient les chanteurs du Chœur lyrique d’Alsace, en costumes d’époque, accompagnés de la pianiste Estelle Gerthoffert, perchée sur une carriole….Après avoir récité un hymne à la nature et aux cabanes, le chœur entonne « Va Pensiero » de Verdi…..un moment inoubliable dans un cadre enchanteur".

Spectacle lyrique en plein air Festival Archi20, Muttersholtz,13/09/12 "Dernières Nouvelles d'Alsace"

 


"Un banquet digne des grandes tablées de l’époque a accueilli les convives du soir. Un public touché au chœur.

Le Chœur lyrique d’Alsace a fait étape dimanche au festival des cabanes Archi20 à Muttersholtz pour deux représentations. En début de soirée, nappes blanches et chandeliers ornaient les tables où une cinquantaine de convives avaient pris place pour le banquet champêtre musical. L’ensemble vocal, en costume d’époque dans un premier temps, s’est installé à table face aux spectateurs pour D’immenso giubilo, un extrait de Lucia di Lammermoor de Gaetano Donizetti, suivi de Mattinata de Ruggiero Leoncavallo interprété en solo per Eric Vivion, le directeur musical. Mais pas de banquet sans repas. Et celui servi dimanche soir était digne de l’événement. Les papilles ont été mises à belle contribution. C’est sur la scène de la guinguette que le Chœur lyrique a continué sa prestation avec Mozart, Verdi comme hôtes de choix. De l’avis de tous, cette soirée aura été l’une des plus appréciée et surtout des plus convoitée de ce festival".

Spectacle Lyrique en plein air Festival Archi20,Muttersholtz,12/09/12 "L'Alsace"